LA VIPERE BLANCHE


De tous les reptiles connus, "vipère" blanche, tu es la plus mortelle! Tu tues et tu fais soufflir des familles entières, innocentes, avec ta morsure fatale... On afirme constamment dans les"Médias":<Nous allons Lui couper la tète!>Mais la "vipère" meurtrère réussit Toujours à se cacher, parfois déguisée, Assise sur une chaise en bois ciré, Ou meme bien habillée, chemise bien repassée! One a dé jà essayé de la surprendre, Mais elle se cache à plusieurs endroits... Toujours vigilante et attentive Pour attaquer sa proie, et pouvoir faire Sa piqure vénéneuse, la voilá qui glisse, Subtile, à lar encontre de l' innocent... En formant sa boucle, elle est le súplice Continuel de beaucoup de personnes. Mais, aux plus hauts niveaux, il y a un empressement Constant et frémissant: on invente des Lois Afin de formaliser la Peine de Mort Pour toutes les espèces de "vipères", Quelles soient blanches ou pás...mais, Il y a toujours le souci de laisser Un petit trou pour que cette vipère Puísse s' évader-parce que le riche Législateur du profit veut sa part, Et maintenir sa place... Originaire du Pérou, de la Bolivie ou De la Colombie, la "vipère" arrive bien masquée, En héroine ou en cocaine, s' élançant Dans sa piqure mortelle sur la chair fine, Sans distinction... et parfois Sur celle de l' être le plus aimé! La "vipère" peut aussi bien venire Du viêt-nam, que du Cambodge, Ou d' un endroit quelconque, elle tue Dês innocents, dans une vague de mortelle Et de deuil, qu' il soit home ou femme! Mais, heureusement pour l' Humanité, Il y en a beaucoup qui veulent Fuir sa morsure... Après, il faut Résister, et avec beaucoup de foi En Dieu, le Três-Haut, retrouver la vie, Mettre de côté le poison,aimer et être aimé... Mais, ici, bien présent, un désir passionné de ce poète Qu' il vaut mieux ne pás être mordu, Parce que cette maudite "vipère", traitre et cruelle, Est presente partout, préparant son poison, Pour l' injecter dans notre peau...

                                                                                  MÁRIO DE OLIVEIRA